15 Exemples de forces et de faiblesses d'une personne - Encyclopédie

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Exemples de forces et de faiblesses

le forces et faiblesses d'une personne sont l'ensemble de vertus, forces, capacités et traits positifs, d'une part, ainsi que leurs lacunes, défauts, handicaps et traits négatifs, d'autre part. Il n'y a pas d'échelle universelle pour mesurer les forces et les faiblesses, mais cette distinction obéit aux besoins spécifiques d'une situation ou d'un contexte.

Ainsi, ce qui dans une situation peut être un défaut ou quelque chose de réprouvé, dans une autre peut être considéré comme une vertu ou un exemple à suivre. Tout dépend du cadre de référence employé pour cela.

Dans le langage de l'entreprise, par exemple, cette nomenclature est souvent utilisée pour traiter les avantages et les inconvénients d'un travailleur ou d'un employé, compte tenu forces les aspects qui contribuent à ce qui est attendu ou même dépassent les attentes, et faiblesses à ceux qui sont en dessous du minimum attendu.

En termes généraux, les forces permettront à la personne de se démarquer positivement, tandis que les faiblesses produiront l'effet inverse.

Il peut vous servir:

Qualité et défauts

Exemples de forces et de faiblesses

Honnêteté (force) et malhonnêteté (faiblesse). Étant donné que la confiance est un bien social commun aux divers domaines de l'activité humaine, les personnes sujettes au mensonge ou aux fausses déclarations sont généralement considérées négativement dans des conditions ordinaires, car elles mettent en péril la confiance qui peut être placée en elles.
Patience (force) et hâte (faiblesse). Dans de nombreux domaines humains, l'attente, la méticulosité ou l'entêtement seront nécessaires, et ceux qui abandonneront facilement seront considérés comme moins. C'est l'un des enseignements les plus fréquents de la méditation zen.
Engagement (force) et égoïsme (faiblesse). Ces traits sont essentiels lorsqu'il s'agit de travailler en équipe ou de former diverses formes de société, d'une équipe de football à une relation amoureuse. L'engagement se traduit par la capacité de faire passer le bien commun avant l'individu, tandis que l'égoïsme implique le contraire.
Courage (force) et lâcheté (faiblesse). Le courage n'est pas compris comme l'absence de peur (qui indique plutôt la naïveté), mais plutôt comme la capacité à y faire face et à entreprendre encore ce qui est désiré. La lâcheté, au contraire, implique l'impossibilité de faire face à des situations de risque ou de stress, préférant fuir ou démissionner tôt.
Responsabilité (force) et irresponsabilité (faiblesse). Une personne responsable est, au sens large, celle qui supporte les conséquences de ses actes et ne permet pas aux autres de les supporter à sa place. Une personne irresponsable, en revanche, est capable de laisser une personne innocente subir une punition afin de préserver son bien-être.
Ponctualité (force) et retard (faiblesse). La capacité de valoriser le temps des autres est une force très appréciée dans certains contextes interpersonnels ou de travail. Une personne non ponctuelle peut ne pas avoir les outils nécessaires pour gérer son temps, être paresseuse ou désordonnée, tandis qu'une ponctuelle promet, d'emblée, le contraire.
Organisation (force) et désordre (faiblesse). Surtout dans les différents systèmes de travail ou de construction collective, la capacité d'organisation personnelle et même d'organisation collective est une force précieuse, car elle décrit des capacités administratives hautement nécessaires dans un système fermé. Clutter, en revanche, est généralement plus créatif mais, en même temps, plus incontrôlable et beaucoup moins prévisible.
Créativité (force) et pensée claire (faiblesse). La créativité est un don spontané et naturel de l'être humain, qui lui permet d'aborder diverses situations de besoin ou de défi de manière originale et insoupçonnée. Une bonne dose de créativité peut être la poussée définitive, tandis qu'une personne à la pensée plate (plate) doit suivre les formes et les chemins tracés auparavant par les autres.
Proactivité (force) et apathie (faiblesse). Il s'agit de la capacité entrepreneuriale d'une personne, de sa gestion énergétique autonome et du désir de faire les choses: quelque chose d'essentiel pour relever de nouveaux défis et grandir. L'apathie, au contraire, tend à l'engourdissement et au conservatisme.
Confiance (force) et doute (faiblesse). La confiance et la détermination sont normalement récompensées, en tant qu'attitudes de leadership et d'avant-garde, au détriment du doute, car elles peuvent être paralysantes. Cependant, dans certains domaines, comme l'intellectuel, le doute peut être une grande force sur la voie de l'excellence.
Charisme (force) et antipathie (faiblesse). Fondamental chez un leader, le charisme suppose la capacité de répandre l'enthousiasme auprès de ceux qui nous entourent et de les ajouter à sa cause. L'antipathie, en revanche, produit le contraire. Une personne charismatique profite du moment initial en sa faveur, car elle «tombe» dès le début.
Concentration (force) et dispersion (faiblesse). Dans le domaine productif, la concentration est généralement récompensée car elle donne des résultats plus immédiats que la dispersion, ce qui peut être utile dans des conditions de simultanéité extrême des processus, mais retarde généralement l'accomplissement des tâches au minimum.
Humilité (force) et fierté (faiblesse). Cette évaluation trouve ses racines dans divers imaginaires moraux et même religieux. L'orgueil, reflet des fragilités et insécurités intérieures, est un mécanisme de défense qui s'attaque d'abord à l'autre dont l'opinion est redoutée. L'humilité, en revanche, indique une forme de confiance intérieure.
Respect (force) et abus (faiblesse). La prise de conscience des formes et des considérations dans les relations avec les autres favorise non seulement un traitement similaire de la personne dès le départ, mais établit également un lien de confiance et de sympathie qui, par contre, détruit l'abus et ses urgences.
Empathie (force) et indifférence (faiblesse). Grande valeur chrétienne, l'empathie suppose la capacité de souffrir avec l'autre et de faire preuve de compassion dans des situations de faiblesse d'autrui. L'indifférence, au contraire, peut être l'une des formes de cruauté ou d'égoïsme, car elle valorise son propre bien-être bien au-dessus de celui des autres.